La complexité de l'interprétation des baguettes du sourcier

Pour aborder ce vaste sujet d’un hypothétique sixième sens, nous vous invitons de partir de l’observation a-tten-tive du mouvement des baguettes de sourcier pour constater que les lois de la physique classique sont insuffisantes.

Souvenons-nous de l’opprobre par tous les inconditionnels des sciences exactes envers le physicien émérite Yves Rocard dans les années 80. Sans faire l’exégèse de ses écrits, l’éminent professeur a conduit ses expériences avec le pendule, remisant les baguettes pour cause de sa non maitrise de leur stabilité.

Avec perspicacité, et une observation attentive des mouvements de convergence et de divergence des baguettes nous découvrons que la respiration du porteur de baguettes intervient, Affirmation admise d’emblée par les adeptes du yoga.

Il suffit de seulement deux pas en apnée pour observer le rapprochement des baguettes qui viennent se coller contre le thorax. Puis en expirant profondément, séquentiellement la baguette droite s’écarte, suivie par la gauche, pour revenir toutes deux en position initiale, parallèles l’une et l’autre.

Oublions donc la théorie de la magnétite contenue dans les sinus, coudes et genoux du Pr Yves ROCARD. Nous nous permettons de remettre en question les calculs basés sur les masses, et le facteur cubique. Mas Je lui voue une grande reconnaissance, et une profonde admiration, pour avoir osé se heurter à la doxa dictée par les seules sciences exactes.

Qu’en déduire ?

Les baguettes seraient-elles attirées par le corps du porteur qui serait magnétique ? : OUI.

Le sang , comme l’eau, sont des composés diamagnétiques. Nos veines et artères véhiculent des aimants faibles. L’oxydation dans les muscles, et la réoxygénation dans les alvéoles pulmonaires font varier le magnétisme. Le subtile équilibre des forces est rompu, la consommation d’oxygène réduit la force de répulsion des baguettes qui existe entre deux corps diamagnétiques . Généralisons : nos organes sont constitués d’éléments diamagnétiques, Alors tournons-nous vers la physique quantique. En physique classique, lorsqu’on aborde l’étude du magnétisme, par souci de simplification, on s’en réfère aux spécificités des composés ferromagnétiques. Un aimant fort en fer avec deux polarités plus et moins et un champ qui se ferme en boucle traversant l’aimant. Les cellules vivantes qui sont diamagnétiques sont qualifiés d’ aimants mous.