Introduction à la Bioquantique
La bioquantique représente un ensemble de phénomènes physiques dans lesquels les organismes vivants interagissent entre eux, en suivant les lois fondamentales de la physique quantique, et des postulats posés par Lipéo qui en découlent. Les macroparticules constitutives des organismes vivants, à tout niveau de leur édification, suivent les lois fondamentales des relations onde-particule et de leur intrication exactement comme les particules élémentaires.
« La science consiste à passer d’un étonnement à un autre »
Aristote
L'effet quantique serait-il le dénominateur commun de nos perceptions ?
Des perceptions sensorielles indéfinies nous envahissent, des impressions de bien-être en forêt, sur un sentier côtier, ou en des lieux chargés de mémoire, mais aussi de mal-être émotionnel en des endroits sordides. Vis-à-vis des personnes, nous éprouvons un courant spontané d’empathie ou au contraire un rejet instinctif. Nous nous interrogeons sur les dons de magnétisme de certains, sur l’homéopathie et son effet placebo. Nous sommes interloqués par les coïncidences troublantes de pensée à un instant donné. Ce faisceau d’impressions aurait pour dénominateur commun l’effet quantique.
Tout ce qui vit vibre …ou le comportement ondulatoire de la matière
L'interaction onde-particule fait référence à la perturbation des trajectoires des particules par les forces électriques et magnétiques associées aux ondes, entraînant notamment un échange d’énergie entre les particules et les ondes.
Depuis la thèse en 1924 de Louis de Broglie, père-fondateur de la mécanique ondulatoire, nous savons donc que les particules élémentaires vibrent.
Mais aujourd’hui, pour comprendre les phénomènes électriques du vivant, il nous faut abandonner les théories de la physique classique et les aborder par le prisme de la physique quantique.
L’aimantation diamagnétique
La matière vivante (humain, animal, végétal) est constituée d’une multitude de minuscules aimants, un ensemble de macroparticules diamagnétiques qui, des acides aminés aux protéines … quel que soit leur niveau d’organisation vibrent. En effet, les lois de la cohérence des ondes, qui s’appliquent aux particules élémentaires : atomes, électrons (dont le sens de rotation du spin définit le type de magnétisme), s’appliquent aussi à toutes les particules vivantes, quelque soient leurs tailles, et aussi aux astres.
Ces minuscules aimants diamagnétiques se comportent différemment des aimants usuels ferromagnétiques. Ils n’ont pas de polarités opposées, leurs polarités sont toutes deux soit positives soit négatives.
Pour éviter toute confusion entre magnétisme électrique et magnétisme humain, nous considérons que le vocable « magnétisme » est inapproprié. Substituons donc la dénomination magnétique, par le vocable de « potentiel bioquantique » lorsqu’on s’en réfère au vivant.
Les aimants diamagnétiques comme le cuivre, et paramagnétiques comme l’aluminium, se sont vus affligés le qualificatif de mous,
par opposition aux aimants ferromagnétiques dits forts. Ainsi l’eau est diamagnétique, notre sang est diamagnétique et vecteur de vie et naturellement vibre.
Nos six sens
Nous avons cinq sens réceptifs : la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat, le goût et un sixième sens émissif et réceptif bioquantique.
Le corps est entouré d’une enveloppe quantique caractérisée par deux grandeurs, un potentiel bioquantique et une longueur d’onde. Cette enveloppe n’est en rien ésotérique, nous verrons dans une prochaine édition comment ces grandeurs sont modulées par la pensée.
Par ce sixième sens nous communiquons avec les animaux et végétaux. Nous pouvons observer nos interactions avec les champignons, bactéries et virus. Par exemple suivre la réaction du corps après une prise d’antibiotique sur les bactéries d’une bronchite, en captant le rayonnement des bronches.
L’effet quantique sur les baguettes du sourcier
Souvenons-nous de l’opprobre par tous les inconditionnels des sciences exactes envers le physicien émérite Yves Rocard dans les années 80. Sans faire l’exégèse de ses écrits, l’éminent professeur a conduit ses expériences avec un pendule, remisant les baguettes pour cause de la non-maitrise de la stabilité de l’instrument.
Nos veines et artères véhiculent cette multitude d’aimants diamagnétiques. Or l’oxydation dans les muscles et la réoxygénation dans les alvéoles pulmonaires font varier le magnétisme.
Les mouvements de convergence et de divergence des baguettes sont influencés par la respiration du porteur de baguettes. Pour s’en convaincre, il suffit de faire seulement deux pas en apnée pour observer le rapprochement des baguettes qui viennent se coller contre le thorax.
Tout exercice physique se traduit immédiatement par une modification du subtil équilibre des forces qui est alors rompu, puisque la consommation d’oxygène a réduit la force de répulsion.
Puis en expirant profondément, séquentiellement la baguette droite s’écarte, suivie par la gauche, pour revenir toutes deux en position initiale, parallèles l’une et l’autre.
Oublions donc la théorie de la magnétite contenue dans les sinus, et articulations des coudes et genoux, du Pr Yves ROCARD. Si je me permets de remettre en question les calculs basés sur les masses, et le facteur cubique, je lui voue une grande reconnaissance, et une profonde admiration pour avoir osé se heurter à la doxa dictée par les seules sciences exactes.
Le jeu de baguettes est à la fois un outil rudimentaire et prodigieux pour découvrir l’effet bioquantique. Avancez vers un arbre, après avoir observé le croisement des baguettes, et poursuivez jusqu’au contact. Observez attentivement le mouvement sinusoïdal des baguettes. Il est généré par le battement périodique, un sous harmonique des deux fréquences, celles des ondes d’émission de l’arbre et celles émises par notre thorax qui interférent entre elles.
Une passerelle vers la médecine chinoise
Abordons les similitudes entre le sens quantique et le Ying et le Yang.
Le Yang est masculin, c’est la lumière. Le Ying est féminin, c’est l’ombre.
Ajoutons le potentiel bioquantique, en abordant les différences d’anatomie génitale. Le Yang est masculin et est émissif d’ondes par un sexe externe de potentiel positif. Le Ying est féminin et est réceptif d’ondes par un sexe interne de potentiel négatif.
Notre cerveau d’adulte est Yang et Ying. La glande pinéale émet des ondes positives, on localise également une zone obscure qui a un lien direct avec la manipulation et la perversité, dont nous mesurons la surface et la profondeur de son potentiel négatif.
Substituons les représentations d’enveloppe ésotérique du corps humain en position de méditation bouddhique, empruntant les couleurs de l’arc en ciel, par une enveloppe monochrome.
La médecine quantique de ville, une branche en devenir.
Lors de la consultation, gageons qu’aux mesures des constantes conventionnelles des pressions, température, oxygénation du sang, pouls, s’ajoutera celle du test quantique.
- - Le traitement des maladies dermatologiques : eczéma, psoriasis, herpès, carcinomes …, de façon analogue à celle des magnétiseurs
- - La mesure de l’activité des virus du covid, et des bactéries de la bronchite…
- - Le suivi de l’arthrose